Le vaccin contre le papillomavirus (HPV) fait l’objet d’un débat controversé depuis plusieurs années. Récemment, le Professeur Joyeux a lancé un appel à la vigilance concernant la vaccination massive des écoliers contre le HPV. Dans cet article, nous examinerons en détail les arguments pour et contre la vaccination HPV, en mettant en lumière les dernières avancées scientifiques et les enjeux financiers qui entourent cette question. Nous vous invitons à vous informer et à réfléchir attentivement avant de prendre position sur cette question de santé cruciale.
Le message du Professeur Joyeux est clair : il est IRRESPONSABLE de faire vacciner les enfants et toute personne non considérée comme à risque au papillomavirus. Il nous invite à signer une pétition afin de demander un moratoire sur cette mesure. Le Professeur Joyeux n’est pas le seul. De nombreux spécialistes s’opposent ou s’interrogent depuis de nombreuses années sur les effets secondaires de ces vaccins.
Pourquoi un tel positionnement ?
Le Papillomavirus (HPV) : Un Virus courant et complexe
Le papillomavirus, communément abrégé sous le nom d’HPV (pour Human Papillomavirus en anglais), est un groupe de virus qui infectent les êtres humains. Ces virus sont responsables de diverses manifestations, allant des verrues cutanées bénignes aux infections plus graves. Il existe plus de 200 types de HPV, dont certains sont considérés comme à haut risque en raison de leur implication dans le développement de certains types de cancer.
A. Variété de souches
Les HPV se distinguent par leurs génotypes, et certaines souches sont plus problématiques que d’autres. Par exemple, les génotypes 16 et 18 sont considérés comme à haut risque, car ils sont associés à des lésions précancéreuses du col de l’utérus, qui peuvent évoluer vers un cancer du col de l’utérus. D’autres génotypes, tels que 6 et 11, sont responsables de la formation de verrues génitales ou condylomes.
B. Transmission et prévalence
L’HPV se transmet principalement par contact direct avec la peau ou les muqueuses infectées, notamment lors de rapports sexuels. Cependant, il peut également se propager par un simple contact cutané. Une caractéristique notable de l’HPV est sa prévalence élevée. En effet, il est estimé que la grande majorité des hommes et des femmes sexuellement actifs seront infectés par au moins un type d’HPV au cours de leur vie.
C. La relation entre HPV et le cancer
La relation entre l’HPV et le cancer est complexe. Bien que la plupart des infections à HPV soient bénignes et disparaissent spontanément, certains types de HPV à haut risque peuvent persister dans l’organisme et causer des lésions précancéreuses, qui, si elles ne sont pas traitées, peuvent évoluer vers un cancer. Le cancer le plus souvent associé à l’HPV est le cancer du col de l’utérus, mais il peut également jouer un rôle dans le cancer de l’anus, de la gorge, de la bouche et du pénis.
Cette compréhension du HPV est essentielle pour évaluer les avantages et les inconvénients de la vaccination HPV, car elle permet de saisir l’importance de prévenir l’infection par les souches à haut risque pour réduire le risque de développer un cancer associé à l’HPV.
À quel âge faut-il commencer la vaccination HPV ?
La vaccination contre le papillomavirus (HPV) est essentielle pour prévenir les infections et les cancers liés à ce virus. Pour garantir une efficacité maximale de cette vaccination, il est crucial de déterminer les populations cibles appropriées. Généralement, il s’agit des jeunes filles et garçons à un âge précoce, bien avant le début de leur activité sexuelle.
L’efficacité de la vaccination HPV est étroitement liée au moment où elle est administrée. Puisque le HPV se transmet principalement par contact sexuel, il est impératif de commencer la vaccination avant toute exposition au virus. Cela signifie que la vaccination est plus efficace lorsqu’elle est effectuée avant que l’individu ne devienne sexuellement actif.
Les autorités de santé recommandent généralement de débuter la vaccination HPV à un âge précoce, souvent pendant l’adolescence. En France, par exemple, elle est proposée aux jeunes filles et garçons entre 11 et 14 ans. Cette stratégie vise à établir une immunité préventive avant toute possibilité de contact avec le virus.
L’initiative de vacciner à un âge précoce repose sur des bases scientifiques solides. Les preuves montrent que la protection contre le HPV est nettement plus efficace lorsque la vaccination est réalisée avant l’exposition au virus. Cette approche contribue à réduire considérablement le risque de développer des lésions précancéreuses du col de l’utérus et d’autres cancers liés au HPV chez les jeunes adultes.
La vaccination HPV : un bouclier contre le cancer du col de l’utérus et autres cancers liés à l’HPV
La prévention du cancer du col de l’utérus et d’autres cancers liés à l’HPV est un enjeu de santé publique majeur, et la vaccination HPV joue un rôle crucial dans cette lutte.
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Réduction significative des infections à HPV :
Les vaccins HPV ont démontré une efficacité remarquable dans la prévention des infections à HPV. Les données provenant d’études menées en Australie, aux États-Unis et en France indiquent une efficacité variant entre 86 % et 96 %. Ces chiffres significatifs témoignent de la capacité des vaccins à réduire l’incidence des infections à HPV, qui sont l’un des principaux facteurs de risque de développer un cancer du col de l’utérus.
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Protection contre les lésions précancéreuses :
Outre la prévention des infections, les vaccins HPV offrent une protection essentielle contre les lésions précancéreuses du col de l’utérus. Une analyse internationale des résultats a montré une efficacité contre les lésions précancéreuses de haut grade allant de 84 % à 94 %. Cela signifie que les femmes vaccinées ont un risque nettement plus faible de développer ces lésions potentiellement évolutives vers un cancer invasif.
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Une arme puissante dans les régions à accès limité au dépistage :
Dans de nombreuses régions du monde, l’accès au dépistage du cancer du col de l’utérus est limité, voire inexistant. C’est là que la vaccination HPV prend toute son importance. Elle offre une première ligne de défense contre les infections à HPV et les lésions précancéreuses, réduisant ainsi le risque de développer un cancer du col de l’utérus. Cette prévention primaire est d’autant plus cruciale dans ces régions où les ressources médicales sont restreintes.
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La vaccination des jeunes : une stratégie gagnante :
La vaccination HPV est généralement recommandée chez les jeunes filles et garçons à un âge précoce, bien avant le début de l’activité sexuelle. Cette stratégie vise à administrer le vaccin avant toute exposition au virus, augmentant ainsi son efficacité. Cela permet également de protéger les générations futures contre les conséquences graves des infections à HPV.
Quelques éléments pour mieux comprendre la papillomavirus :
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Les vaccins existants ne préservent que de certains facteurs de risque, et non du cancer en lui-même.
Le vaccin contre les infections à papillomavirus humain est préconisé par les autorités de santé pour réduire le risque du cancer du col de l’utérus. En effet, certains cancers du col de l’utérus sont liés aux papillomavirus (de génotypes 16 et 18 notamment, responsables de lésions précancéreuses du col utérin)(1). Deux types de vaccin s’utilisent actuellement : le GARDASILÒ (Laboratoire Merck, commercialisé par Sanofi-Pasteur- vaccin quadrivalent, c’est-à-dire dirigé contre les papillomavirus de génotypes 6, 11, 16 et 18, jugés responsables de 70 à 84 % des cas de cancers du col de l’utérus, selon le fabricant) et le CERVARIXÒ (GlaxoSmithKline – vaccin bivalent contre les génotypes 16 et 18).
Seulement quelques souches sont ciblées, et les vaccins ne protègent pas contre de nombreux autres génotypes, tout autant en cause dans les cancers du col de l’utérus.
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Un virus commun et le plus souvent bénin
Si la corrélation entre HPV à haut risque et cancer du col ne se remet pas en question, il faut cependant savoir que 90 % des infections sont asymptomatiques et guérissent sans traitement. Ce virus se retrouve chez 80 % des hommes et des femmes. Ce virus est donc commun. Les taux de mortalité et surtout l’âge des décès (entre 75 et 79 ans pour la majorité) liés au cancer du col de l’utérus ne justifient pas les discours alarmistes des laboratoires fabricants qui visent tout particulièrement les adolescentes et les jeunes femmes. Le cancer du col de l’utérus représente 0,7 % de l’ensemble des décès par cancer en France, tous sexes confondus, en 2011. (2)
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Les vaccins existants, fabriqués à partir d’OGM, possèdent des effets secondaires encore méconnus mais néanmoins inquiétants.
Les deux vaccins précités, tout deux issus de manipulation génétique, se composent de nombreux adjuvants : 225 mg d’aluminium, du polysorbate 80 soupçonné de rendre stérile, d’être carcinogène et mutagène et de borate de soude, considéré comme un poison pour le GARDASILÒ, et pour le CERVARIXÒ500 mg d’aluminium et l’ASO4 composé de sels d’aluminium et de monophosphoryl lipid A, soupçonné d’induire certaines maladies auto-immunes. (3)
De nombreux rapports de médecins incitent à la prudence quant à ces deux vaccins. Des patients et associations citoyennes incriminent directement ces vaccins dans des cas graves de pathologies déclarées suite aux injections, notamment des maladies auto-immunes.
Quoi qu’il en soit, il y a un manque d’information claire sur les effets secondaires possibles de ces vaccins.
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Des études et des chiffres contestés, des enjeux financiers colossaux
Chaque injection coûte environ 123 euros, remboursés à 65 % par la Sécurité Sociale. Deux ou trois injections à quelques mois d’intervalle sont nécessaires selon l’âge du sujet.
La protection s’évalue, d’après les laboratoires, entre 5 et 6 ans. Ces chiffres, contestés par de nombreux scientifiques, relèvent le manque de recul des études, ainsi que leur partialité (les études indépendantes font défaut à ce jour).
Le coût de la vaccination s’élèverait à 926 millions d’euros sur une période de 3 à 5 ans. Le frottis généralisé à toute la population, hors coût de la visite médicale, s’élèverait quant à lui à 87,8 millions d’euros… !
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Alors que de nombreux états demandent un moratoire, la France s’obstine
L’Allemagne, l’Australie, la Norvège, la Suisse, le Canada et le Japon (juin 2013) ont demandé un moratoire. En Espagne et au Royaume-Uni, des voix s’élèvent contre la vaccination généralisée contre le HPV.
En France, depuis plusieurs années le Pr Béraud et le Dr de Chazournes ont multiplié les alertes et les appels à moratoire. L’appel récent du Professeur Joyeux constitue un autre appel à réagir.
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Un risque certain, un bénéfice qui l’est beaucoup moins
Il est désormais clairement établi que le cancer est une maladie multifactorielle impliquant l’hérédité, l’hygiène de vie et l’environnement.
Vacciner de jeunes enfants, à un âge où le risque est réduit, avec une probabilité réelle d’effets indésirables, pour quelle raison ?
Le frottis, d’après la communauté scientifique, reste le meilleur moyen de prévenir un cancer du col de l’utérus.
Pourquoi certaines personnes sont-elles contre le vaccin ?
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles certaines personnes sont contre le vaccin contre le papillomavirus. L’une des principales préoccupations est que le vaccin peut causer des effets secondaires graves. Les effets secondaires les plus courants sont la douleur, les rougeurs et les gonflements au site d’injection, ainsi que de la fièvre. Cependant, il y a eu des cas rapportés de problèmes plus graves, tels que des convulsions et des paralysies.
Une autre préoccupation est que le vaccin peut encourager les comportements sexuels risqués, car les jeunes filles peuvent penser qu’elles sont protégées contre toutes les infections sexuellement transmissibles, alors que ce n’est pas le cas.
Pourquoi certaines personnes sont-elles pour le vaccin ?
Les partisans du vaccin contre le papillomavirus soutiennent que c’est un moyen important de prévenir le cancer du col de l’utérus. Le vaccin a été testé et approuvé par les autorités sanitaires, et de nombreuses études ont montré qu’il était sûr et efficace (4). De plus, le vaccin n’encourage pas les comportements sexuels risqués, car il ne protège que contre les types de virus qui peuvent causer des cancers.
Il est important de noter que les vaccins HPV ont démontré une efficacité élevée dans la prévention des lésions précancéreuses du col de l’utérus et des infections à l’origine des cancers. Selon des études menées en Australie, aux États-Unis et en France, l’efficacité des vaccins contre les infections HPV varie entre 86 % et 96 % (5). De plus, une analyse internationale des résultats a montré une efficacité contre les lésions précancéreuses de haut grade entre 84 % et 94 %.
L’efficacité des vaccins HPV a également été étudiée chez les hommes, avec des résultats positifs. Une étude internationale a montré une efficacité de près de 90 % pour prévenir les condylomes ano-génitaux chez les hommes âgés de 16 à 26 ans.
Ces données suggèrent que les vaccins HPV sont un outil efficace dans la prévention du cancer du col de l’utérus et d’autres infections liées aux HPV, tant chez les femmes que chez les hommes.
Il s’agit une fois de plus d’un véritable enjeu citoyen. Alors, à vos recherches et à votre réflexion pour faire vos choix de santé.
Sources:
- (1) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12571259/
- (2) https://www.e-cancer.fr/content/download/63354/570141/version/2/file/RAPCSFRAN11.pdf
- (3) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24206418/
- (4) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28011911/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25249360/
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C’est dingue ! Ils sont tombés sur la tête ! Les laboratoires sont à ce point affamés ? Ils ne gagnent pas assez d’argent ?
Je connais une jeune fille dont la maman avait cru bien faire en la faisant vacciner contre le papillomavirus pour se prévenir contre le cancer de l’utérus. Aujourd’hui, elle a beaucoup de problèmes pour avoir une relation sexuelle. Trop de vaccins pour rien et qui peuvent provoquer par exemple la sclérose en plaques. JE SUIS CONTRE;