Le choix des protections hygiéniques n’est pas une mince affaire. Il est important, que nos protections hygiéniques soient confortables et efficaces au niveau de l’absorption pour éviter les fuites. Ces deux critères sont d’ailleurs primordiaux pour chacune d’entre nous. Il n’est pas question d’être mal à l’aise et/ou de se retrouver avec des taches de sang sur nos vêtements ! Mais au-delà de tout cela, nous nous inquiétons aussi par rapport à la composition ainsi que la fabrication de ces produits d’hygiène intime qui nous sont indispensables. C’est pourquoi la marque Les Petites choses a pris l’initiative de formuler pour nous, utilisatrices soucieuses de notre confort et de notre santé, mais aussi de l’avenir de la planète, des protections périodiques 100% naturelles et 100% sans produits chimiques.
Des perturbateurs dans ma salle de bain ?
Nous nous en aspergeons le visage, nous nous en frottons sous les aisselles et nous en mettons même dans notre bouche. Aujourd’hui, shampooings, déodorants, savons, crèmes et gommages en tout genre remplissent nos salles de bain. Il y a aussi les crèmes solaires et les dentifrices, les gels et les masques, les parfums et les crèmes à raser.
Mais le sentiment de jeunesse, de beauté et de bien-être qu’ils nous procurent peut être une simple illusion. Car, paradoxalement, nombre de nos produits « santé et beauté » quotidiens contiennent des substances chimiques synthétiques – dont certains perturbateurs endocriniens – qui peuvent être nocives pour la santé.
Malheureusement, la législation ne nous protège pas encore contre tous les produits chimiques nocifs contenus dans les cosmétiques et les produits d’hygiène personnelle.
À la découverte de la marque Les Petites Choses
Les Petites choses est une enseigne fondée en 2005 par Johan et Matthieu, deux hommes (oui des bonhommes ! ) qui ont la même passion pour les produits naturels et bio. Ils ont commencé par formuler des produits pour bébé tels que les laits bio, les lingettes et les couches. Mais avec les demandes des mamans, l’entreprise s’est orientée vers la production de protections menstruelles. Fidèles à ses principes, les protections qu’elle propose sont composées à 100% de fibre de coton biologique, certifiées par le label GOTS (Global Organic Textile Standard), et biodégradables. Dans une démarche zéro déchet, la marque propose des protections lavables comme : Les-Petites-Choses Serviette hygiénique Lavable Coton Bio ou les protège-slips Les-Petites-Choses Protège-Slip lavable Coton Bio.
Les engagements de la marque
0% de parfum, 0% d’émulsifiant PEG, 0% de parabène, 0% de chlore, 0% de glyphosate et 0% de dioxine, la marque a pour mot d’ordre de ne jamais utiliser des matériaux synthétiques ou chimiques dans leurs produits. Ces éléments qui, pour la plupart, sont source d’irritation et potentiellement dangereux pour la santé des femmes. L’ensemble des produits Les Petites Choses sont fabriqués avec de la fibre de coton 100% bio et sans perturbateurs endocriniens. D’ailleurs, pour rassurer leur clientes, la marque a publié le rapport toxicologique complet sur les serviettes et tampons qu’elle propose. Effectivement, cela a permis de certifier l’absence de perturbateurs endocriniens dans la composition leurs protections intimes. Cette transparence au niveau de la composition des produits fait partie des engagements de l’enseigne.
Soucieuse aussi de la planète, la marque a opté pour une vente en circuit court afin de limiter les émissions de carbone. D’ailleurs, la fabrication des protections intimes de la marque Les Petites Choses a lieu en Catalogne. De plus, les intermédiaires entre le fabricant et les clientes ont été supprimés. En plus de cela, la marque vise aussi à limiter les déchets plastiques provenant des protections hygiéniques. En effet, une étude a montré que les serviettes et tampons font parti des sources de déchets à usage unique les plus répandus. C’est pourquoi les emballages des protections “Les Petites Choses” sont recyclables. Même les applicateurs de leurs tampons sont biodégradables afin de préserver notre environnement.
Sources: