Quelle est la véritable cause du vieillissement prématuré ?

Plus vous vieillissez et plus votre santé vous préoccupe ? Vous n’avez pas envie de mal vieillir ? Vous doutez de votre capacité à garder le contrôle de votre vie ? Ces pensées peu réjouissantes se bousculent dans votre esprit à l’approche de la retraite… Peut-être avez vous été témoin du déclin fonctionnel de vos parents, ou de celui d’un ami. Peu importe la raison, on s’est tous déjà dit : “Je ne veux pas finir comme ça”.

Mais qu’est-ce qui peut à ce point changer la manière dont vous abordez le vieillissement ? Une avancée scientifique qui bouscule les idées préconçues en matière de solutions anti-âge. Cette avancée va vous permettre de garder la chose que toutes les personnes de votre âge veulent conserver : L’autonomie

  • L’autonomie, car vous conservez des capacités physiques et mentales durables et plus fortes que jamais.
  • L’autonomie, car vous n’avez plus peur de mal vieillir.
  • L’autonomie, car vous préservez votre vitalité et vous protégez tout votre organisme.

Mais rassurez-vous, il existe une technique simple pour essayer de conserver une bonne santé et un mode de vie actif malgré les années.

Mais comment atteindre un âge honorable en conservant votre véritable indépendance ? La réponse est simple, il faut lutter activement contre la première cause du vieillissement prématuré [1] : La glycation.
Ce sont des généticiens de l’université de l’Utah qui, après des années de recherches, ont identifié et classé par ordre d’importance les quatre causes du vieillissement accéléré [2] :

  1. La glycation (46%)
  2. Le stress oxydatif (44%)
  3. L’âge chronologique (6%)
  4. Le raccourcissement des télomères (4%)

Comme vous le constatez, la glycation arrive en première position et elle serait d’ailleurs responsable en grande partie du stress oxydant qui prend la deuxième place.

Pourquoi la glycation est inévitable et comment elle impacte votre santé dans son intégralitéDes tâches brunes sont apparues sur votre peau ces dernières années ? Vous remarquez que vos yeux perdent en transparence et prennent une couleur grisâtre ? Lorsque vous pincez le dos de votre main, le pli de peau qui se forme met du temps à disparaître [3]? Alors vous commencez à observer les premiers signes extérieurs de la glycation !

Le processus est en marche et va bien plus loin que ce que vous remarquez sur votre peau. Il impacte l’intégralité de votre organisme [4]. La glycation est une réaction chimique qui s’apparente à la caramélisation que l’on observe en cuisine lors de la cuisson des aliments.

Comment la glycation encombre votre organisme ?

Cette réaction chimique se produit entre les protéines et les glucides (sucres) de votre organisme. Ces deux nutriments essentiels sont partout dans votre corps et vous en consommez à chaque repas.

La réaction se produit en plusieurs étapes [5]:

D’abord une molécule de glucide rencontre une molécule de protéine. Elle va se fixer à elle, il devient alors impossible de les séparer. En se fixant, le glucide va dénaturer la protéine, on dit alors que c’est une protéine glyquée. Elle est paralysée et désactivée par cette liaison : elle perd sa fonction dans l’organisme. La protéine glyquée devient alors un produit de glycation avancée appelé AGEs (Advanced Glycation End products). Ce sont des dépôts inutiles qui résultent de la glycation, et c’est eux qui vont avoir l’action la plus néfaste sur l’organisme. Une fois la protéine transformée en AGE, ce n’est rien d’autre qu’un déchet.

L’organisme ne peut ni s’en servir, ni l’évacuer. Résultat, ils s’accumulent et deviennent toxiques pour l’organisme pour 3 raisons :

1) Les AGEs sont des “protéines mortes” [6]

Toutes les protéines essentielles au fonctionnement de l’organisme peuvent être affectées par la glycation : collagène, élastine, kératine, hémoglobine, myéline. En se liant aux sucres, elles meurent et deviennent peu à peu des AGEs. Tout comme le caramel finit par durcir, ces protéines deviennent rigides et ne peuvent plus remplir leurs fonctions.

C’est précisément la raison pour laquelle la glycation impacte l’intégralité de votre santé.

  • Si les muscles ne sont plus correctement nourris par les protéines : ils perdent en force et en motricité [7]. C’est pourquoi les personnes âgées deviennent plus frêles et perdent en capacité physique.
  • Si le collagène et l’élastine sont attaqués : les veines et les artères se rigidifient, le système cardiovasculaire est impacté [8]. Au quotidien vous sentez votre palpitant qui s’emballe, vous êtes essoufflé au moindre effort.
  • Si l’hémoglobine ne remplit plus sa fonction, le sang et l’oxygène qu’il transporte circulent mal dans l’organisme [9]. Vos organes sont moins bien irrigués, leur fonctionnement n’est plus optimal.
  • Si les membranes de myélines qui entourent les fibres nerveuses du cerveau manquent de protéines, les neurones communiquent mal [10]. Vous avez de plus en plus de trous de mémoire, vous perdez en vivacité intellectuelle.
  • Si les articulations manquent de collagène ou d’élastine, elles se rouillent et se bloquent [11]. Vous perdez en mobilité, cette gêne est de plus en plus pénible au quotidien.
  • Si vos yeux manquent de collagène, c’est la rétine, le cristallin et donc votre acuité visuelle qui est altérée [12]. Vous pourriez avoir des difficultés à bien lire de loin, votre habilité à conduire la nuit est fortement menacée.
  • Si vous manquez de kératine, vos cheveux deviennent rêches et cassant, leur chute s’accélère [13]. Votre crâne se dégarnit, vos cheveux blancs tombent par touffes sous la douche.
  • Si votre peau manque de collagène et d’élastine, elle perd en élasticité et se ride [14]. Votre visage se creuse, on vous dit que vous avez pris un coup de vieux.

Je ne vous donne que quelques exemples, mais je pourrais continuer cette liste encore et encore tant les protéines jouent un rôle crucial dans tout l’organisme.

2) Les AGEs saturent les cellules jusqu’à les détruire [15]

Malheureusement la glycation ne s’arrête pas à la destruction des protéine. Une fois transformées en AGEs, elles vont polluer l’intérieur même de nos cellules. Les AGEs se fixent aux cellules, pénètrent à l’intérieur et les empêchent de fonctionner. En s’accumulant à l’intérieur, les produits de glycation vont progressivement étouffer et saturer les cellules jusqu’à entraîner leur mort prématurée [16].
schéma de cellules étouffées par les AGEs.

Et ce n’est que le début de cette réaction en chaîne…

3) Les AGEs sont une source considérable de stress oxydant [17]

En détruisant les cellules de l’intérieur, les AGEs sont à l’origine d’une production excessive de radicaux libres. Cette réaction conduit à un stress oxydant qui se propage partout dans l’organisme et a pour conséquences [18] :

  1. La mise en danger de nombreuses autres cellules : le stress oxydant que produisent les AGEs se potentialise et attaque tout ce qui l’entoure.
  2. Un déséquilibre entre les radicaux libres qui oxydent les cellules et les antioxydants qui protègent l’organisme de cette action néfaste. L’organisme n’arrive plus à suivre et les radicaux libres prennent le dessus.
  3. Une accélération d’autant plus importante des phénomènes de vieillissement

Glycation et réaction du stress oxydant

En fait, la glycation est une réaction en chaîne qui impacte l’organisme dans son intégralité. Votre corps est par ailleurs très mal équipé pour s’en protéger naturellement : il n’arrive pas à évacuer les produits de la glycation [19] (contrairement au stress oxydatif contre lequel il peut lutter grâce aux antioxydants qu’il produit). Pourtant la glycation est une réaction naturelle et inévitable et elle devrait pouvoir s’intégrer dans le fonctionnement biologique humain sans causer trop de dégâts.

Mais ce n’est pas le cas pour une raison simple, nous sommes surexposés aux produits de la glycation. Il y a deux sources principales de glycation qui nous exposent aux AGEs :

en premier lieu, celle que l’on vient de voir, qui se produit naturellement dans notre corps quand les sucres se fixent aux protéines (source endogène). À chaque pic glycémique (donc à chaque repas) la glycation s’enclenche. Mais à ceci s’ajoute une deuxième source de glycation exogène (c’est-à-dire extérieure à notre corps). C’est tout simplement notre alimentation qui nous apporte une dose d’AGEs beaucoup trop importante au quotidien [20].

De plus, la glycation se produit aussi en cuisine à chaque fois que vous faites dorer vos légumes ou vos viandes. Plus un aliment est cuit à forte température ou pour une longue durée, plus il subit une glycation importante (le mode de cuisson importe beaucoup) [21]. Lorsqu’un aliment est bruni ou roussi par la cuisson, qu’il a ce bon goût de “grillé”, qu’il est caramélisé, c’est le signe qu’il est chargé en AGEs nocifs pour la santé.

C’est pour cette raison que manger un aliment brûlé est toxique ou que le barbecue est mauvais pour la santé. Cette belle couleur dorée et le croustillant du poulet grillé, délicieux, mais particulièrement chargé en AGEs nocifs. Il ne faudrait pas consommer plus de 8000 à 16 000 kU (kilo unité) d’AGEs par jour pour que la glycation de votre organisme n’accélère pas le vieillissement [22].

D’ailleurs, pour vous donner une idée, une seule cuisse de poulet grillée contient plus de 16 000 kU d’AGEs [23].

  • 100 g de beurre contient 26 480 kU d’AGEs.
  • 10 cl d’huile d’olive c’est 11 900 kU d’AGEs.
  • 100 g de feta c’est 8 423 kU d’AGEs.

En fait, la plupart des produits d’alimentations courantes sont extrêmement chargés en AGEs avant même d’être cuisinés. Vous comprenez donc pourquoi nous sommes tous surexposés aux produits de la glycation et que cela peut vite devenir un problème de santé qui vous empêche de bien vieillir.

Mais bonne nouvelle, vous pouvez limiter la charge en AGEs de votre alimentation.

Les bons réflexes pour contrer la glycation

Voici les conseils que je peux vous donner pour limiter l’impact nocif de la glycation sur votre votre organisme [24-26] :

  • Limitez les aliments riches en AGEs : Certains aliments sont à éviter car ils contiennent beaucoup de produits de la glycation : les produits ultra-transformés, les aliments frits, les aliments grillés, les aliments cuits à haute température, les aliments riches en sucres et en graisses saturées.
  • Utilisez des méthodes de cuisson alternatives : Des études ont montré que certains types de cuisson minimisent la production d’AGEs : les cuissons à basse température (en dessous de 150 degrés), les cuissons à l’eau et à la vapeur, ainsi que l’utilisation de marinade (l’acidité du citron réduit le processus de glycation).
  • Mangez des aliments riches en acides aminés : Les acides aminés tels que la carnosine, la lysine et la proline aident à vous protéger contre la glycation car elles attirent les sucres et les forcent à se fixer sur elles plutôt que sur les protéines. On en trouve dans les viandes rouges et blanches (mais attention à ne pas les frire ou les griller !), les produits laitiers, les œufs, les poissons gras, les haricots, les lentilles…
  • Supplémentez votre alimentation avec des anti-oxydants naturels comme la vitamine C ou le zinc : Le zinc est un oligo-élément essentiel au bon fonctionnement de votre organisme. Il joue un rôle dans plus de 300 réactions enzymatiques, mais aussi dans la synthèse de l’ADN et des protéines [27]. Donc, il aide à produire de nouvelles cellules et de nouvelles protéines pour pallier aux dégâts de la glycation.

Malgré ces conseils, la glycation et ses AGEs restent très difficile à éviter : il faudrait sans cesse redoubler d’efforts nutritionnels pour maintenir une alimentation pauvre en AGEs.

Finalement, vous allez pouvoir lutter contre la glycation sans avoir besoin de contrôler l’indice glycémique ou la cuisson de chacun de vos repas en suivant une cure de compléments alimentaires naturellements anti-oxydants.

La triple action du zinc

À vrai dire, il joue un rôle clé dans notre stratégie anti-glycation en agissant sur les trois axes que nous avons identifiés pour minimiser les effets nocifs de la glycation sur le corps. Cette stratégie vise à réduire l’apport en sucre, promouvoir la production d’enzymes qui décomposent les produits finaux de glycation avancée (AGE) existants, et utiliser des composés naturels tels que le zinc pour inhiber la formation de nouveaux AGE. Ainsi, le zinc est un élément important de cette stratégie globale et contribue à son efficacité en agissant sur plusieurs fronts pour prévenir les effets néfastes de la glycation sur le corps. Le zinc fait en quelque sorte la synthèse de notre stratégie anti-glycation car il agit sur les 3 axes que nous avons identifiés ensemble :

Premièrement il contribue à un métabolisme normal des glucides :

Une compilation de 14 études sur environ 4000 participants a démontré qu’une supplémentation en zinc à haute dose augmente l’activité de l’insuline qui va réguler la glycémie [28]. Chaque étude a enregistré une régulation significative des taux de glucose sanguin. Les pics de glycémie sont ainsi sous contrôle, les sucres sont bien gérés par votre organisme, la glycation est donc moins importante [29].

Deuxièmement il aide ainsi à lutter contre la formation des AGEs :

Cette même revue scientifique de grande envergure a aussi prouvé que le zinc permettait de réduire la glycation de certaines protéines grâce à son action double sur le métabolisme des sucres et la synthèse des protéines [30]. Par exemple, le taux d’hémoglobine glyquée tend à diminuer rapidement chez les sujets supplémentés en zinc.

En effet, si l’hémoglobine est préservée, l’oxygène circule mieux dans le sang, tous vos organes et tissus expulsent plus efficacement le dioxyde de carbone. Cette réaction se répercute dans tout l’organisme et le nettoie en profondeur.

Troisièmement il participe à une puissante action antioxydante :

Le zinc participe à la synthèse protéique. De fait, cela permet de régénérer les protéines détruites par la glycation, mais c’est aussi particulièrement utile dans la lutte contre le stress oxydant que produisent les AGEs [31]. En fait, il induit la synthèse des protéines HSP. On les appelle “les protéines chaperones” car elles ont un rôle protecteur contre toutes les sources de détérioration cellulaire, notamment la glycation ET le stress oxydant [32].

En effet, entre 2008 et 2022, trois études in-vitro menées sur l’Homme se sont intéressées de près à ce mécanisme [33-35]. Elles ont montré qu’une supplémentation en zinc augmente fortement le taux de protéines HSP chez les sujets et que celles-ci participent aux défenses antioxydantes de l’organisme. D’ailleurs, en prenant en compte ces études, il ne fait aucun doute que le zinc a une place de choix dans votre supplémentation anti-glycation.

C’est pourquoi nous vous conseillons de suivre une cure avec un complément ayant dans sa formule au moins 15 mg de zinc (soit 150% des valeurs nutritionnelles de référence). Pour que vous puissiez en profiter de manière optimale, nous vous conseillons la meilleure forme : le bisglycinate de zinc qui est 43% plus biodisponible que les autres formes de zinc [36].

Sources :
[a] Institut Hippocrate de Floride, Rester jeune: impact de l’alimentation et du mode de vie, traduit en français par Alimentation Vivante.
[1-2] Institut Hippocrate de Floride, Rester jeune: impact de l’alimentation et du mode de vie, traduit en français par Alimentation Vivante
[3] https://www.antiageintegral.com/anti-age-revitalisation/glycation-vieillissement-anti-age
[4] Richard D. Semba, Emily J. Nicklett, and Luigi Ferrucci – Does Accumulation of Advanced Glycation End Products Contribute to the Aging Phenotype? – J Gerontol A Biol Sci Med Sci. 2010 September; 65A(9): 963–975
[5] https://www.pensersante.fr/les-dangers-de-la-reaction-de-maillard
[6] »Advanced Glycation End Products (AGEs) and Their Receptors (RAGE): Role in Pathogenesis of Chronic Diseases » de R. Cai, et al. publié en 2020, dans la revue « International Journal of Molecular Sciences »
[7] Olson LC, Redden JT, Schwartz Z, Cohen DJ, McClure MJ. Advanced Glycation End-Products in Skeletal Muscle Aging. Bioengineering (Basel). 2021 Nov 1;8(11)
[8] Peppa M, Raptis SA. Advanced glycation end products and cardiovascular disease. Curr Diabetes Rev. 2008 May;4(2)
[9] Elizabeth Selvin, Spyridon Marinopoulos, Gail Berkenblit, et al. Meta-Analysis: Glycosylated Hemoglobin and Cardiovascular Disease in Diabetes Mellitus. Ann Intern Med.2004;141:421-431
[10] Münch G, Westcott B, Menini T, Gugliucci A. Advanced glycation endproducts and their pathogenic roles in neurological disorders. Amino Acids. 2012 Apr
[11] Saudek DM, Kay J. Advanced glycation endproducts and osteoarthritis. Curr Rheumatol Rep. 2003 Feb;5
[12] Ishibashi T, Murata T, Hangai M, Nagai R, Horiuchi S, Lopez PF, Hinton DR, Ryan SJ. Advanced glycation end products in age-related macular degeneration. Arch Ophthalmol. 1998 Dec;
[13] Journal of Cosmetic Dermatology, 2017, « Glycation and hair health: a review » de A.C. Moyal, C. Maier, R.H.guy, J. Botchkarev, et V.A. Botchkareva
[14] « Advanced glycation end products and their receptors in skin aging and chronoaging » par R. C. Suh et al. (2019) dans Journal of Dermatological Science.
[15-17] https://www.antiageintegral.com/anti-age-revitalisation/glycation-vieillissement-anti-age
[18-19] Yan SF, Ramasamy R, Schmidt AM. Mechanisms of disease: advanced glycation end-products and their receptor in inflammation and diabetes complications. Nat Clin Pract Endocrinol Metab. 2008 May;4(5):285-93
[20-21] Advanced Glycation End Products in Foods and de plus a Practical Guide to Their Reduction in the Diet » de Caius Rommens, Paediatric Endocrinology Reviews, vol. 14, no. 3, p. 367–384, 2017
[22-23] Uribarri J, Woodruff S, Goodman S, Cai W, Chen X, Pyzik R, Yong A, Striker GE, Vlassara H. Advanced glycation end products in foods and a practical guide to their reduction in the diet. J Am Diet Assoc. 2010 Jun;110(6)
[24] « Advanced Glycation End Products (AGEs) and Their Inhibitors » de R. J. Collings et al, International Journal of Molecular Sciences, vol. 21, no. 10, 2020
[25] « Therapeutic Potential of Natural Compounds Against Advanced Glycation End Products » de P. Singh et al, Oxidative Medicine and Cellular Longevity, vol. 2019, 2019
[26] « Strategies to reduce advanced glycation end products » de C. Rommens, Pediatric Endocrinology Reviews, vol. 14, no. 3, p.367-384, 2017

[27] « Biochemistry of zinc » edited by E.A. Dawes and L.J. Palmer (1998)

[28] Effectivement Jasmine Capdor et al., Zinc and glycemic control: A meta-analysis of randomised placebo controlled supplementation trials in humans. Journal of Trace Elements in Medicine and Biology. Volume 27, Issue 2, April 2013, Pages 137-142
[29] « Protective Effect of Zinc against Advanced Glycation End Products-Induced Toxicity in vitro and in vivo » – Journal of Diabetes Research, Volume 2016 (2016).
[30] Cependant Jasmine Capdor et al., Zinc and glycemic control: A meta-analysis of randomised placebo controlled supplementation trials in humans. Journal of Trace Elements in Medicine and Biology. Volume 27, Issue 2, April 2013, Pages 137-142
[31-33] Enfin Putics A, Vödrös D, Malavolta M, Mocchegiani E, Csermely P, Soti C. Zinc supplementation boosts the stress response in the elderly: Hsp70 status is linked to zinc availability in peripheral lymphocytes. Exp Gerontol. 2008 May;43(5):452-61.
[34] De fait Pardo Z et al. Supplemental Zinc exerts a positive effect against the heat stress damage in intestinal epithelial cells: Assays in a Caco-2 model. J Functional Foods, 2021,83
[35] Effectivement Peng-Winkler Y, Büttgenbach A, Rink L, Wessels I. Zinc supplementation prior to heat shock enhances HSP70 synthesis through HSF1 phosphorylation at serine 326 in human peripheral mononuclear cells. Food Funct. 2022 Aug 30;13(17
[36] ​​Gandia P, Bour D, Maurette JM, Donazzolo Y, Duchène P, Béjot M, Houin G. A bioavailability study comparing two oral formulations toutefois containing zinc (Zn bis-glycinate vs. Zn gluconate) after a single administration to twelve healthy female volunteers. Int J Vitam Nutr Res. 2007 Jul;77(4):243-8.

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