La Grande Bardane, petit trésor de la nature

La bardane, outre son implication médicinale dans la vie quotidienne des hommes, a aussi été une plante liée au domaine spirituel. Déjà, il y a 2000 ans, Pline indiquait qu’elle faisait partie des plantes favorites des druides. Plus tard, on la retrouvera dans le cortège des plantes solsticiales et de celles que l’on jette (entre autres) dans le feu lors de la Saint-Jean afin de se prémunir de l’orage. Du fait qu’elles poussent dans le voisinage de l’homme, on a dit qu’elles étaient des plantes compagnons. Voyons voir maintenant à quel point les bardanes sont de bonne compagnie d’un point de vue médicinal !

Qu’est ce que la Bardane ?

Quels sont ses attributs botaniques ?

Lappa officinalis, également connue sous le nom de L. MAJOR DC., est une plante bisannuelle. Elle se caractérise par des capitules longuement pédonculés formant un corymbe lâche. L’involucre, ouvert au sommet et large de 3-4 cm, est glabre. Ses folioles intérieures, plus longues que les fleurs, sont généralement de couleur concolore, rarement purpurines (variante PURPURASCENS Le Grand). Cette plante possède des akènes de 6 à 7 mm et des fleurs purpurines.

On la trouve sur les bords des chemins et dans les lieux incultes en France, y compris en Corse, et elle est répandue en Europe et en Asie, fleurissant principalement en juillet et août. Le nom Arctium, d’origine grecque, suggère une analogie avec un ours, possiblement en référence à l’aspect rugueux de l’inflorescence. Le nom français « bardane » dérive soit du lyonnais signifiant « punaise » ou du latin « baritare », signifiant « s’opposer à, diverger ».

Le genre Lappa, signifiant « saisir, prendre » en latin, était utilisé avant l’arrivée de la terminologie de Linné. La plante, connue pour ses fruits qui s’accrochent aux vêtements, a reçu divers noms populaires au fil des siècles, tels que artichaut, rhubarbe sauvage, ou encore « amoureux ».

En France, la bardane est aussi appelée « herbe aux teigneux », due à son efficacité contre certaines maladies de la peau. La Grande Bardane (Arctium lappa) est moins commune que la Petite Bardane (Arctium minor) au Québec. Elle est utilisée en médecine traditionnelle pour ses propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes, et peut être cultivée pour ses racines consommées comme légume.

La bardane est une plante très répandue, pouvant atteindre 2 m de haut avec une racine pivotante charnue. Elle a de grandes feuilles alternes, cordiformes, et des fleurs violettes groupées en capitules. Ces capitules possèdent des bractées en crochets, favorisant la dissémination des graines. La bardane se cultive dans un sol frais et riche en humus, et se multiplie par semis.

Ses utilisations thérapeutiques

Les feuilles et racines de bardane contiennent de l’inuline, des acides caféique et chlorogénique, des stérols et des composés insaturés. Ces éléments sont à l’origine de ses propriétés antiseptiques. Les racines de bardane contiennent aussi des lactones sesquiterpéniques (arctiopicrine), qui donnent un goût amer. Elles renferment également des lignanes (arctiine, arctigénine), étudiés pour leurs potentielles propriétés anticancéreuses. Cependant, aucune étude clinique n’a confirmé les effets de la bardane malgré ses propriétés antiseptiques démontrées en laboratoire.

Du point de vue des autorités de santé :

  • L’EMA (Agence européenne du médicament) reconnaît l’usage traditionnel de la racine de bardane comme diurétique et pour traiter la perte d’appétit passagère, limitant le traitement à deux semaines.
  • La Commission E allemande ne recommande aucun usage spécifique en raison du manque de données.

La bardane présente des activités anti-infectieuse et anti-inflammatoire, régulant la sécrétion de sébum. Elle stimule l’excrétion de la bile et protège le foie.

Indications thérapeutiques comprennent :

  • Infections cutanées (furoncles, abcès, etc.)
  • Acné surinfectée chez l’adolescent
  • Diverses dermatoses sèches

Les parties utilisées sont la racine et la feuille, contenant divers composés bénéfiques. La racine est reconnue pour ses propriétés diurétique, détoxifiante, hépatoprotectrice et anti-rhumatismale, tandis que la feuille est utile dans le traitement des dermatoses.

Traditionnellement, la Grande bardane est employée comme diurétique, dépuratif sanguin, et pour le traitement de troubles hépatobiliaires et musculo-squelettiques. Elle aide à éliminer les toxines, comme les PCB, et réduit l’absorption intestinale de cholestérol et de lipides. Ses acides caféoylquiniques protègent contre plusieurs agents hépatotoxiques et réduisent l’absorption de certains composés nocifs. La Grande bardane est également efficace contre les maladies de peau, notamment l’acné, grâce à ses propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes.

Un peu d’histoire

Au Moyen-Âge, on la retrouve dans la pharmacopée d’Hildegarde sous le nom de « Cletta ». Selon elle, la racine de bardane serait inutile. On lui préfère ses feuilles. Cependant, ces feuilles sont jugées dangereuses pour l’homme, qu’elles soient cuites ou crues. Elles ne seraient bénéfiques que dans de rares cas, comme pour les douleurs pectorales, respiratoires, et les calculs rénaux. Plus tard, la bardane gagne en popularité pour son usage topique dans les maladies cutanées. Elle est encore utilisée ainsi de nos jours.

À l’époque, la bardane était très appréciée, au même titre que la grande aunée (Inula helenium). Elle était utilisée comme vulnéraire et résolutive, surtout en application externe sur les maladies de peau. Parmi ces maladies figurent la scrofule, la gale, la lèpre, la teigne, et les dartres, comme le mentionnait Albert le Grand au XIIIe siècle. On la considérait aussi comme diurétique, sudorifique, détersive, pectorale et légèrement astringente. Elle était utilisée dans le traitement de la lithiase, du crachement de sang, de la goutte, de l’arthrite, des rhumatismes, etc.

Au XVIe siècle, la carrière médicinale de la bardane prend un nouveau tournant puisque c’est grâce à des décoctions de sa racine que l’on parvient à guérir le roi Henri III de la grande vérole (syphilis). Cette nouvelle ligne sur son CV conforta son statut de panacée. En cela, Lazare Rivière (1589-1655) s’attachera à l’étude de la bardane en raison de ses soi-disant propriétés antisyphilitiques, tandis qu’Olivier de Serres rapporte les autres usages de son temps (cicatrisante sur les ulcères, antivenimeuse sur les morsures de serpents et « autres bestes malignes »).

Quelles sont les principales propriétés pharmacologiques des racines de Bardane ?

La bardane est riche en composants bénéfiques pour la santé. La bardane contient de l’inuline, une fibre prébiotique essentielle pour nourrir les bonnes bactéries du microbiote et de la flore intestinale. Ses acides chlorogéniques contribuent à réduire la glycémie sanguine en augmentant la production d’incrétine. Les lignanes (arctiine, arctigénine) sont étudiés pour leurs bienfaits sur la santé cardiovasculaire et la prévention des inflammations. Ils sont potentiellement utiles contre certains cancers. La quercétine, un autre composant, est efficace contre les rhinites allergiques et les affections cutanées allergiques, telles que l’eczéma. Enfin, son activité antioxydante se manifeste par sa capacité à capturer les radicaux libres et à augmenter les antioxydants endogènes, comme le glutathion.

Acné : propriétés anti-infectieuses et anti-inflammatoires

La bardane, reconnue pour ses propriétés antibactériennes non spécifiques, agit efficacement in vitro contre des bactéries telles que Bacillus subtillis, Escherichia coli, Shigella flexneri, et Pseudomonas aeruginosa*, grâce à ses dérivés polyacétyléniques. Elle est aussi antistaphylococcique et antimycosique, particulièrement contre Candida albicans.

Son action anti-inflammatoire est principalement due à l’arctigénine, qui influence la production de NO et la sécrétion de cytokines pro-inflammatoires (TNF-alpha, IL-6). Les lignanes, tels que la diarctigénine, s’opposent au facteur d’activation plaquettaire (PAF), jouant un rôle crucial dans les réactions allergiques aiguës et les bronchospasmes anaphylactiques.

In vivo, la poudre de racine de bardane réduit l’inflammation intestinale dans des cas de colite et stimule l’activité des macrophages. Chez l’homme, l’infusion de racine d’Arctium lappa améliore l’état inflammatoire et le stress oxydatif chez les patients souffrant d’arthrose du genou.

Traditionnellement, la bardane est utilisée pour traiter divers problèmes de peau, notamment l’acné. Ses principes actifs favorisent la circulation sanguine à la surface de la peau, aidant ainsi à combattre les maladies cutanées. Ses propriétés anti-inflammatoires et antibactériennes contribuent à maintenir une peau saine, à réduire l’éruption de boutons et à apaiser les peaux enflammées.

Elle est couramment utilisée pour traiter des troubles cutanés tels que le psoriasis, l’eczéma, la dermatite séborrhéique, et d’autres affections comme les furoncles ou les maladies éruptives. En outre, la bardane a une action anti-rhumatismale, soutenant les personnes souffrant de douleurs articulaires liées à l’arthrose et au rhumatisme.

Propriété sur le métabolisme glucidique

La bardane, grâce à ses lignanes, est un agent antidiabétique efficace, agissant comme hypoglycémiant en inhibant l’alpha-glucosidase. Cette action contribue à améliorer la tolérance aux hydrates de carbone, ce qui est essentiel pour la gestion du diabète. Elle confirme ainsi son usage traditionnel dans la réduction de l’hyperglycémie, en limitant l’élévation de la glycémie postprandiale (après les repas).

Cette plante exerce son effet hypoglycémiant notamment par la modulation de la signalisation du métabolisme énergétique via l’activation des voies AMPK. Elle agit également en augmentant l’absorption de glucose dans les muscles et en réduisant la production de glucose induite par le glucagon dans les hépatocytes.

De plus, la bardane stimule la libération de GLP-1, une hormone importante dans la régulation de la glycémie. En raison de ces multiples actions métaboliques, la bardane aide à réduire la résistance à l’insuline, améliorant ainsi la fonction des cellules β pancréatiques et soutenant la perte de poids, deux aspects cruciaux dans la gestion du diabète de type 2 (DT2).

Il est important de noter que, bien que bénéfique pour la régulation de la glycémie, la bardane doit être utilisée avec prudence, particulièrement chez les patients diabétiques sous médication, en raison de ses potentielles interactions et effets diurétiques.

Propriété hépato protectrice

La bardane, grâce à ses lactones sesquiterpéniques et ses propriétés antiradicalaires, offre une protection hépatique efficace contre les dommages causés par des substances hépatotoxiques telles que l’éthanol, le tétrachlorure de carbone, l’acétaminophène et le paracétamol. Elle contient des polysaccharides comme l’inuline, qui soutiennent le pancréas, le foie et la bile, et contribuent à la purification de la peau.

La bardane, riche en sels minéraux et en inuline, stimule la vésicule biliaire et aide à purifier la peau. Ses racines détiennent des propriétés détoxifiantes et dépuratives, favorisant la détoxification du sang en stimulant les fonctions d’élimination au niveau du foie et des reins.

En outre, la bardane contient des phytohemagglutinines, des hormones réparatrices pour les tissus, et des acides caféoylquiniques, efficaces contre de nombreux agents hépatotoxiques. Elle présente également des vertus anti-inflammatoires et antioxydantes, protégeant le foie contre les inflammations causées par les métaux lourds ou certains médicaments.

La bardane stimule l’activité hépatique. Elle agit comme un puissant diurétique et est souvent recommandée dans les cures détox. En améliorant l’élimination des toxines et la production de bile, elle contribue au bon fonctionnement hépatique, aidant à traiter des pathologies telles que l’acné, les allergies, les migraines, ou encore les troubles métaboliques.

Enfin, la bardane favorise la réparation des cellules hépatiques grâce à sa teneur en molécules antioxydantes, stimulant leur régénération. Cependant, cette action réparatrice est différente de celle du chardon-marie, qui, grâce à la silymarine, pénètre au cœur des cellules endommagées pour accélérer leur guérison.

Propriété néphroprotectrice

La bardane protège les reins contre la génotoxicité due au cadmium. Elle a des propriétés protectrices in vivo. Cette plante soulage les troubles urinaires grâce à son action diurétique, essentielle pour le bon fonctionnement rénal.

Elle stimule aussi l’appareil urinaire, augmentant le volume urinaire. C’est utile pour les infections urinaires. La Grande Bardane contient des acides caféique et chlorogénique. Ces composés ont des propriétés antioxydantes, diurétiques et cholérétiques. En activant les sécrétions hépatobiliaires et rénales, la bardane aide à éliminer les déchets organiques du corps.

Propriété régulatrice des fonctions de sécrétions et d’élimination

La bardane, connue pour sa capacité à réguler la sécrétion de sébum, favorise la maturation des abcès et l’élimination du pus, une utilisation traditionnelle confirmée par la science. Elle agit aussi sur la purification de la peau, en particulier en cas d’acné.

Cette plante, riche en composés poly-insaturés comme les polysaccharides, les polyphénols, ou les polyènes, possède des propriétés purifiantes, diurétiques et séborégulatrices. Ces caractéristiques sont particulièrement utiles pour les peaux acnéiques. Sa richesse en flavonoïdes et composés poly-insaturés lui confère une action régulatrice sur les glandes sébacées, ce qui la rend efficace pour gérer les problèmes de peau grasse et d’acné, en régulant la production de sébum.

La bardane aide à l’élimination rénale et améliore la fonction dépurative de la peau. Elle contribue à garder une peau saine, stimule le drainage intestinal et facilite l’élimination des toxines. Cette plante active les fonctions des glandes sudoripares, purifiant ainsi la peau via la sueur et le sébum.

Des recherches montrent que les acides alcools de la racine augmentent la cholérèse hépatique. Ils ont un effet laxatif sur l’intestin et agissent sur les reins comme aquarétique uricorusique et anti-urolithiasique, en alcalinisant les urines.

Propriété antimutagène, antitumorale et anti-auto-immune

L’arctigénine contenue dans Arctium lappa est une substance pharmacologiquement active qui confère une protection neuronale et possède des propriétés antidiabétiques, antitumorales et antioxydantes.

Une étude de 2015 montre que l’arctigénine inhibe les cellules Th17 et améliore l’encéphalomyélite auto-immune expérimentale, mettant en évidence des propriétés anti-inflammatoires et immunosuppressives. Cela indique qu’elle pourrait être un médicament thérapeutique potentiel pour la sclérose en plaques ou d’autres maladies inflammatoires auto-immunes.

Les extraits de bardane pourraient aider les patients atteints de cancer du pancréas résistants à la gemcitabine. Ce type de cancer constitue 7 % des décès par cancer, étant la quatrième cause de mortalité cancéreuse. La gemcitabine est souvent limitée par l’hypoxie dans le microenvironnement tumoral, ce qui renforce la résistance au traitement.

Des chercheurs japonais ont découvert que l’arctigénine, présente dans la bardane, pourrait être efficace pour les essais cliniques. Cette substance a montré une activité antitumorale et est sûre même à des doses élevées.

L’étude a testé le GBS-01, médicament oral à base d’extrait de bardane riche en arctigénine. Il a été administré à 15 patients ayant un cancer pancréatique avancé et résistant à la gemcitabine. Ils ont exploré la dose maximale tolérée et les toxicités limitant la dose (DLT). Aucune toxicité sévère n’a été observée aux doses testées, bien que des toxicités légères aient été notées.

Parmi les patients traités, 4 ont connu une stabilisation de la maladie et 1 a montré une réponse partielle. Le taux de réponse était de 6.7 % et le taux de contrôle de la maladie de 33.3 %. La survie médiane sans progression et la survie globale étaient de 1.1 mois et 5.7 mois, respectivement.

Existe-il des précautions d’emploi concernant la Bardane ?

La bardane, bien que bénéfique pour certaines conditions de santé, présente des contre-indications et nécessite des précautions d’emploi. L’Agence européenne du médicament (EMA) déconseille l’utilisation de la bardane pour les femmes enceintes ou allaitantes. Ses propriétés ocytociques peuvent stimuler l’utérus. Seuls les adultes devraient utiliser la bardane. On la déconseille en cas de colique hépatique ou de crise de colique néphrétique. Cette restriction est due à ses effets cholérétique et diurétique.

Pour la bardane, il faut être attentif au risque de réactions allergiques. Ces réactions sont souvent dues aux sesquiterpène-lactones présentes dans la plante. Les personnes allergiques aux plantes de la famille des Astéracées doivent être particulièrement vigilantes.

En ce qui concerne les interactions médicamenteuses, prudence est de mise avec les antidiabétiques ou hypoglycémiants. Il existe aussi un risque d’interaction avec les anticoagulants et les diurétiques de synthèse. Les personnes souffrant de crises de calculs urinaires doivent éviter la bardane. La consommation de liquides ou de diurétiques peut augmenter la pression dans les voies urinaires et provoquer des douleurs.

Les effets indésirables de la bardane sont rares. Ils incluent principalement des réactions allergiques, surtout chez les personnes sensibles aux Astéracées. On ne rapporte aucune interaction formelle avec d’autres substances, mais des interactions avec les médicaments anticoagulants et les traitements du diabète peuvent théoriquement s’envisager.

En raison de son effet potentiellement stimulant sur les contractions utérines, l’EMA déconseille l’usage de la bardane chez les femmes enceintes et allaitantes. Cette précaution s’étend également aux personnes de moins de dix-huit ans.

Comment prendre la Bardane et à quel dosage ?

On peut utiliser les feuilles et racines de bardane pour préparer des infusions et décoctions. Il faut mettre de 3 à 6 grammes par tasse, à boire jusqu’à trois fois par jour. On peut boire ces préparations ou les appliquer directement sur la peau. Les extraits de bardane se retrouvent aussi dans diverses crèmes et lotions. Ces produits sont conçus pour traiter les inflammations et infections cutanées.

En cas d’utilisation de la bardane pour ses effets diurétiques, il est important de boire au moins deux litres d’eau par jour. Cette hydratation accompagne et optimise le traitement.

Forme sèche :

  • En complément alimentaire (extrait standardisé de plante fraîche, extrait sec, poudre sous forme de comprimés ou gélules, ou en vrac en sachet jusqu’à 500 g de poudre) à raison de 200 à 600 mg par prise, 2 ou 3 fois par jour.

Forme liquide :

En usage local : Des extraits de bardane peuvent rentrer dans la composition de crèmes, de lotions ou de préparations magistrales à usage local.

La Bardane en préparation magistrale d’extraits standardisés sous forme liquide (EPS)

  • Association avec la Pensée sauvage : Pour traiter l’eczéma sec ou prurigineux, ainsi que les dermites sèches.
  • Association avec le Plantain : Pour traiter l’eczéma suintant ou prurigineux, ainsi que l’eczéma associé à de l’asthme et les dermites.
  • Association avec l’Échinacée : Pour traiter la folliculite dans le cadre d’un syndrome métabolique, ainsi que les infections à staphylocoque (furoncle, eczéma surinfecté).
  • Association avec le Cyprès : Indiquée dans les maladies éruptives virales (herpès, varicelle, roséole infantile, Molluscum contagiosum).
  • Association avec la Réglisse : Dans le traitement de la candidose digestive et cutanée.
  • Association avec le Radis noir : Indiquée dans la dyshidrose des extrémités, les dermites en relation avec une fragilité hépatique ou pour un besoin de détoxication (exemple : métabolique ou médicamenteuse).
  • Association avec l’Ortie racine : En traitement de l’acné ‘floride » maculo-papuleuse du visage et du dos de l’adolescent.

Sources bibliographiques médicales et essais cliniques

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